TITRE I ORIGINE DE L'UNIVERS (WIDE'S MODEL)
I-1 VIDE ORIGINEL
Une alternative novatrice à la théorie consensuelle du BIG-BANG basée
sur une expansion de l'Univers résultant d'une unique explosion atomique
d'une masse de particules diffuses portées à très haute température.
Ce nouveau concept ne réfute pas l'existence primitive de couples
(particules- antiparticules) mais les insèrent dans une structure en réseau de mailles.
Dans une première approche,il se base sur l'apparition progressive de sources d'émission de guides d'ondes n'ayant aucune propriété électromagnétique et de vitesse de phase bien supérieure à
la constante C=300 000 km/s établie par Einstein . Les guides d'ondes sont rapidement cloisonnés au sein
d'une barrière d'énergie délimitant le vide primitif en réaction à l’énergie noire intrinsèque. La dispersion initialement aléatoire de leurs sources dans l'espace, se stabilise
progressivement avec la formation de trous noirs contribuant à celle des astres primaires. par implosion.
Chaque guide d'ondes est une variable de l'espace-temps, possède un moment cinétique intrinsèque, somme de leurs composantes et présente des propriétés d'élasticité avec réaction exothermique lors de chocs entre eux décrites dans un champ scalaire à quatre dimensions.
Une masse potentielle va ainsi se constituer après réflexion du paquet d'ondes sur la barrière au fur et à mesure
de l'élargissement en fréquence de son spectre dans un processus de vive accélération. et donner lieu à l'attribution à chaque particule ainsi créée la propriété "onde/énergie".
D'après la relation de Planck-Einstein ( E = h ⋅ ν où h est la constante de Planck), le quantum d'énergie d'une onde dans le vide est inversement proportionnel à sa longueur d'onde.
En effet, les propriétés de l'onde détermine celles, quantiques, de la particule
virtuelle associée à travers sa masse et non l'inverse suivant l'effet Casimir: l'énergie d'un champ magnétique entre deux plaques à
ferromagnétisme dur augmente avec la diminution de la pression et de leur écartement. Dans le vide, une onde électromagnétique perpendiculaire aux plaques par alignement parallèle des spins des électrons se forme générant un courant de faible intensité dans les plaques.
Dans le vide en tant que milieu non dispersif, la vitesse de groupe est égale à la vitesse de phase, maximisant ainsi la durée de cohérence de chaque guide d'ondes émis avant l'agitation aléatoire ultérieure due à leur rencontre élastique qui va partiellement les fragmenter et générer un milieu dispersif avec déformation du guide d'ondes origine et de son bilan énergétique.
La réduction quasi- instantanée des paquets d'onde induit une intrication entre particules indépendamment de leur localisation exprimée par une convergence statistique de leurs quantités de mouvement en une seule entité. Elle assure la stabilisation énergétique du modèle de Bohr à sa frontière en l'absence d'interaction extérieure.L'intrication entre certaines particules élémentaires est une hypothèse plausible pour expliquer l'origine de la brisure de symétrie en mécanique quantique.
En contradiction avec l'inflation cosmique, paradigme du big-bang, son corolaire est l'existence de barrières de potentiel dans le vide originel ayant donné lieu à leur répartition inégale, la mobilité ultérieure des unes dans l'espace occasionnées par la rupture occasionnelle des autres.
La théorie des ensembles est évoquée: ces barrières ne peuvent se confondre avec la réunion de toutes les parties denses du vide. Il s'ensuit qu'elles peuvent être soumises à des fluctuations spatiales.
Principe fondamental: En mathématique, l'ensemble vide ne contient aucun élément mais son existence est liée à celle de tout ensemble non vide par le symbole Union pour le maintenir en l'état.
Ainsi, en cosmologie, le vide originel joue un rôle majeur dans l'évolution des fronts d'ondes primitives. avec lesquels il interagit. Il n'a pas de prédécesseur.
Dans l'astre primaire, chaque fraction de paquet d'ondes répartie en niveaux d'énergie discrète par leur moyenne statistique de quantité de mouvement donne ainsi naissance à un atome
suivant la table de Mendeleïev en ajustant la masse de ses composants à
l'interaction faible, forte décrite en mécanique quantique.
Corolaire: Le milieu dispersif devenant de plus en plus dense donne
naissance à la périphérie des astres primaires à des atomes de masse atomique croissante et à l'apparition
par oscillation quantique d'isotopes instables pour un même atome (élévation du rapport nbre
neutrons/nombre de masse).
Ce processus s'est poursuivi jusqu'à épuisement de la transformation des
guides d'ondes primitifs durant des milliards d'années.
Le neutron capte en effet la partie du
paquet d'ondes la plus énergétique (rayon X).
L'isotope 1H (un proton, zéro neutron) comporte environ 0,01 % de
l'isotope 2H (un proton, un neutron). Ces deux isotopes sont stables.
En fin de formation des astres primaires, la série de collisions entre
l'isotope 3H (un proton, deux neutrons) avec l'isotope 2H (un proton, un
neutron) peut perturber l'équilibre des forces entre le vide et les
astres primaires à partir d'un seuil ne dépendant que du bilan
énergétique propre à chaque astre primaire (*).
Cette instabilité résulte de la production d'hélium de masse inférieure à
celle obtenue en sommant les masses des l'isotope 2H et 3H.
Cette
réaction de fusion nucléaire s'accompagne d'une énorme libération
d’énergie calorifique avec émission de rayon gamma et d'une grande
quantité de neutrino-électrons électriquement neutres, de très faible
masse.
(*) L'énergie consacrée à la limitation à 300 000 km/s de la vitesse de
chaque onde dans le vide est transférée progressivement à l'astre
primaire pour constituer sa masse atomique. Quand ce seuil de vitesse
est atteint:
- soit la conversion onde-matière n'est pas terminée: le noyau subira la
pression des couches externes plus denses et une réaction en chaîne va
s'y produire à partir des atomes les plus légers comme l'hydrogène. La
fusion magmatique est suivie de l'explosion de l'astre. Le vide se
stabilise en diffusant alors cette énergie dans l'espace sous la forme
d'un champ gravitationnel et d'une onde thermique (Supernovas). Ce
processus à l'échelle de l'Univers est étalé dans le temps; de même tous
les astres primaires n'explosent pas en même temps.
- soit la conversion onde-matière est terminée. Aucune fusion nucléaire
n'a lieu. L'astre ne peut s'effondre que sous son propre le champ
gravitationnel (Trous noirs).
Les astres se différencient en effet par
la densité de leur masse atomique croissante au fur et à mesure que l'on
s'éloigne du noyau.
I-2
SUPERNOVAS versus TROUS NOIRS
A) SUPERNOVAS
le vecteur concentration du vide résiduel ne peut résister au vecteur
diffusion s'appliquant à l'horizon des événements de l'astre. L'onde de
choc dans le vide interstellaire, précédée d'un rayonnement gamma,
expulse les fragments d'éléments chimiques les plus légers sous la forme
d'un nuage de gaz et de poussières synthétisés au cours de son
existence ainsi que les plus lourds (le carbone) emprisonnés dans du
magma refroidi (*), générant dynamiquement de proche en proche un
nouveau type de champ: le champ gravitationnel.
(*) Le carbone, produit en grande quantité par la réaction triple alpha
au sein de l'astre primaire, est expulsé à une température supérieure à
3826°C, point de sublimation de son composant dans le graphite relevé
sur la planète TERRE.
Celui-ci organise le positionnement des astres au sein des galaxies en
deux temps: les étoiles, puis leurs planètes à partir de la formation
d'un disque protoplanétaire circumstellaire.
L'explosion nouvelle d'une supernova ne dépend pas des autres galaxies
déjà formées; mais elle modifie selon la distance leur champ
gravitationnel.
Logique binaire: [ supernova - vide]= [goutte d'huile /eau en
température ambiante] dans un milieu fermé agité aléatoirement selon
l'expérience ludique du TITRE III.
Plus tardivement, le manteau supérieur des astres de moindre masse - les
planètes- a été impacté par des météorites de composition chimique
assez hétérogène.
Plus de 80% des météorites tombant sur Terre sont des chondrites ayant
conservé la composition chimique du disque protoplanétaire à l'exception
de certains minéraux contenus dans les chondrites carbonées - moins de
3% des météorites.
La chondrite carbonée CI - moins d'un kilo- tombée le 16 décembre 1938
en Tanzanie contenait des acides aminés par réaction chimique de ses
composants lors de l'impact avec avec l'eau traversant le corps parental
par les fissures existantes.
Faisant abstraction du clivage par hydrolyse des liaisons
polypeptidiques sous le contrôle d'enzymes spécifiques et du catabolisme
en résultant, certains chercheurs en ont conclu hâtivement que ces
acides aminés non essentiels pouvaient être, par leur moindre différence
dans leur formule chimique, intégrés dans la liste des 22 acides aminés
associés aux 64 codons des eucaryotes. La vie sur la Terre aurait été
"importée" d'un autre astéroïde!
B) TROUS NOIRS.
Le consensus scientifique actuel estime sa masse supérieure à celle de
trois soleils.
Le trou noir en astronomie est la deuxième forme de disparition d'un
astre primaire.
La matière noire donnant forme à chaque puits d'énergie potentielle rayonne sous la forme d'un champ gravitationnel. Il est voué à terme à
l'autodestruction par contraction de l'horizon des évènements.
Si la différence entre la quantité de mouvement d'une onde gravitationnelle créée par la déformation de l'espace-temps entre l'horizon des
événements et le centre du trou noir est supérieure à celle d'une onde/particules y ayant pénétré, le système contraint les particules à rester
au fond du puits.
Toutefois le champ électromagnétique situé à l'entrée du puits de potentiel généré par le trou noir permet par l’effet tunnel le saut du puits pour quelques rayons à très haute fréquence (rayon gamma...) du spectre du paquet
d'ondes, ce qui n'est pas le cas pour la lumière visible.
Remarque: une étoile, par fusion nucléaire de son noyau, rayonne sa
propre lumière et ne peut évoluer en trou noir (WIDE'S MODEL).
I-2 ORIGINE DE LA ROTATION D'UNE ÉTOILE, D'UNE PLANÈTE SUR ELLE-MÊME
Est ici proposé au lecteur un scénario détaillant l'origine du phénomène de rotation sur elles-même des étoiles et de leurs planètes en analysant l'explosion d'une supernova. Il sera fait appel à la mécanique des fluides.
Le transfert thermique par rayonnement vers l'horizon depuis le coeur de la supernova du magma constitué de particules en fusion, de gaz (hydrogène,hélium...) n'est pas uniforme.
Ce dernier va donc subir une poussée d'Archimède et entrer en convection, aussitôt remplacé par d'autres particules. Répondant localement à leur gradient de concentration, une advection de tourbillon pour les éléments les plus lourds se forme et est propulsée dans le vide par l'énergie cinétique.
Les particules entraînées dans une enveloppe hélicoïdale finissent à son extrémité par former en se refroidissant un disque d'accrétion soumis au champ gravitationnel galactique en acquérant une orbite tout en conservant leur mouvement de rotation (une inertie caractéristique du vide).
La précession gyroscopique s'appliquera au nouveau satellite d'une étoile par affaiblissement de la force de gravitation due à la perte -très progressive- de masse de l'étoile en séquence principale. L'axe de rotation du satellite sera de plus en plus incliné par rapport au plan de l'orbite. Il en est ainsi pour la planète Terre, le pôle sud étant plus proche du soleil.
I-3 COMPATIBILITÉ AVEC LA MÉCANIQUE QUANTIQUE
L'ajout d'un nouveau mode d'interaction dans le vide quantique en complément de l'interaction faible, forte décrite en mécanique quantique n'est pas en contradiction avec la relativité générale mais introduit un nouveau paramètre dans la déformation primitive espace/temps - un vecteur virtuel absolu "concentration du vide" auquel sont attachés l'énergie sombre et le concept d'intrication quantique.
La modélisation de l'univers quantique primordial a fait l'objet d'une publication du même auteur d'intitulé Univers quantique primordial
L'interaction entre chaque couple de particules élémentaires non chargées entre elles les associe dans un cycle fermé par inversion de leur status binaire. En l'absence de particules médiatrices comme le photon dans l’interaction électromagnétique, la structure du vide est d'une part homogène, d'autre part constituée en réseau maillé susceptible de fluctuations. Chaque particule répond au principe d'incertitude de Heisenberg portant sur sa position et sa quantité de mouvement. Le modèle de Bohr pour un atome ne peut être ici reproduit.
La fraction d'énergie sombre associée à chaque interaction est supérieure à celle de l'interaction forte du modèle nucléaire standard si l'on admet qu'elle lui a donné naissance par fractionnement.
I-4 APPROFONDISSEMENTS: la formation d'un atome
Tout astre est un agrégat d'atomes et de molécules ionisées. Le "pourquoi" de la création de l'univers est du domaine de la métaphysique. L'astrophysique se contente d'un "comment" sous l'appellation "Big Bang" sans autre précision.
Les relations introduisant une constante universelle comme celle de Planck dans un modèle mathématique relèvent de la convergence asymptotique d'une organisation de la matière qui ne peut être reproduite en laboratoire.
Le réseau de mailles formant le vide primordial ne peut que se fracturer localement que s'il est encadré par une barrière de potentiel dont la frontière est soumise à une déformation aléatoire. La loi des nœuds de Kirchhoff ne s'applique pas dans les mailles à partir d'un seuil différentiel d'énergie d'interaction.
Les particules élémentaires libérées s'effondrent pour se lier et créer ainsi un champ électromagnétique dans un puits de moindre énergie, délimités par de la matière noire résiduelle détectable par son champ gravitationnel. Preuve de la formation des premiers atomes au fond de puits d'énergie...
Les ondes gravitationnelles observables signent la dispersion du contenu du puits suivant une marche aléatoire convergeant en loi vers le mouvement brownien. Des agrégats se forment sous l'effet de vortex et donnent naissance aux astres primaires.
Les signaux d'intrication sont portés de proche en proche par les mailles du réseau subissant sans rupture les déformations de la barrière de potentiel.
L'Univers ne subsiste qu'à travers la dégradation de l'énergie initiale: il est donc appelé à disparaître ainsi que tout cycle cellulaire dépendant de l'existence d'une atmosphère.